La région de Testour abrite un circuit “de près de 1,5 km au cœur de la ville qui couvre mosquées, mausolées et autres espaces publics dont le café Andalous, les hammams, les jets d’eau, les pots à fleurs et les boutiques de commerce artisanal, allant de la confection à l’art culinaire.

Les monuments phares de la ville sont la grande mosquée, l’ancienne demeure de la célèbre cantatrice et comédienne Habiba Msika (1903-1930), transformée en maison de culture baptisée au nom du saint Ibrahim Riahi, le mausolée Sidi Nasr Garouachi, un monument datant de 1733 classé patrimoine religieux national et le mausolée du Rebbi Fraji Chaouat, témoignant encore une fois de cet aspect multiconfessionnel de la ville, entre les musulmans et juifs qui furent pourchassés d’Andalousie.

Une ville-musée à ciel ouvert avec un circuit écologique qui s’étend jusqu’en dehors de la ville pour atteindre un périmètre de 18 km sur des zones agricoles.

Ce circuit va jusqu’au grand barrage de Sidi Salem, les vergers des montagnes avoisinantes et la chasse en forêt, dotée d’un écosystème habité par toutes sortes d’animaux sauvages (lapins, sangliers, cailles…).

Le site Ain Tounga, la tyrolienne sur le fleuve “Oued Medjerda” pour enfin arriver à la grotte “Ghar Kriz”, idéal pour les adeptes des profondeurs pour une descente d’une centaine de mètres en dessous de la terre.

Un cadre architectural et naturel qui fait le bonheur de ses visiteurs passionnés d’histoire et ceux qui préfèrent se projeter dans la douceur d’un cadre naturel printanier paradisiaque.