A l’approche des vacances d’été, la Maison du Roman poursuit l’expérience entamée l’année dernière pour sélectionner le roman de la saison.

La seconde édition du ” Roman de l’été ” emprunte une tradition en vigueur dans les institutions médiatiques et culturelles à travers le monde. Il s’agit d’un concours dont l’objectif est d’encourager la lecture romanesque et de faire connaître les romanciers locaux et étrangers auprès du lectorat.

Les personnes intéressées sont appelées à envoyer leurs candidatures avant le 30 juin, par voie électronique (novelshouse@gmail.com), tout en mentionnant le nom complet, la profession et l’âge du participant.

Selon les conditions établies par le concours, il est impératif de préciser le titre du roman proposé, le nom de l’auteur et la couverture de la copie envisagée pour la présentation. Chaque formulaire doit être accompagné d’une critique du roman dans un texte qui ne dépasse pas les 500 mots.

Les meilleures propositions de titres à lire seront retenues par un jury spécial de la Maison du roman. Sont acceptées, uniquement les critiques de romans publiés après 2018. Pour la présentation du roman sélectionné, le candidat potentiel aura le choix entre la lecture de son texte ou l’interprétation scénique ou encore une combinaison entre les deux.

Les candidats retenus seront invités à se présenter le 5 juillet prochain au siège de la Maison du roman à la Cité de la culture. Chacun d’eux aura 7 minutes maximum pour présenter sa critique du roman choisi et convaincre le public et les membres du jury. Il devra justifier son choix, l’intérêt du roman et sa singularité pour qu’il puisse figurer dans la liste des romans d’été.

La maison du roman proposera une liste de romans à lire pour cette saison dont les titres seront dévoilés le jour même, le 5 juillet prochain. Elle annoncera une liste de 9 romans qui sont l’oeuvre de 3 auteurs tunisiens, 3 auteurs arabes et 3 auteurs de renommée internationale. Un prix sera décerné pour les meilleures propositions dans chacune de ces trois catégories.