
M. Jamal Tayeb Abdelmalek regrette que d’importants fonds libyens sont bloqués dans des banques étrangères alors qu’elles auraient pu être hébergées dans les banques centrales des pays du Maghreb. Il a également regretté qu’il n’y est pas suffisamment de collaborations actives entre les institutions financières maghrébines pour soutenir les banques libyennes face au blocus international qu’ils subissent.
Estimant le coût de la reconstruction de la Libye à plus de 150 milliards de dollars, M. Jamal Tayeb Abdelmalek a souhaité que cette manne puisse profiter en priorité aux sociétés des pays du Maghreb.


