Les campagnes médiatiques lancées sur les réseaux sociaux contre l’Union générale tunisienne du travail (UGTT) et ses dirigeants ne sont pas du goût du Parti des travailleurs.

Ledit parti estime que ces campagnes “n’ont rien à voir avec la liberté d’expression (et) montrent la persistance de la coalition gouvernementale à vouloir imposer des orientations impopulaires portant atteinte aux droits des travailleurs et ayant pour dessein de fragiliser les entreprises et les services publics”.

Pour ce parti, “les auteurs de ces campagnes sont liés à des milieux proches du gouvernement et des partis libéraux qui prétendent la modernité ou agissent sous couvert de la religion, ceux-là mêmes qui sont soumis au diktat du capitalisme financier de l’extérieur”.

Ces campagnes ont pour objectif de déstabiliser la classe ouvrière et le mouvement syndical en les empêchant de jouer leur rôle face aux grandes réformes.

Le Parti des travailleurs dénonce ce qui s’apparente à “vendre le pays, d’éroder le tissu économique local, de dévaster les finances publiques et de saper les acquis des travailleurs dont les retraités”.

Ceci montre la justesse du choix de notre rédaction de dénoncer le parti pris du Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT) dans les affaires politiques, associatives ou syndicales…