
Le texte insiste sur la nécessité d’acquérir et d’installer les équipements requis, en nombre suffisant, dans toutes les administrations centrales et régionales, ainsi que dans les établissements et entreprises publics, y compris les gouvernorats, délégations et municipalités.
La circulaire précise également que ces dispositifs doivent être fonctionnels, entretenus régulièrement et installés dans des emplacements assurant un accès facile et une surveillance continue.
Les ministres sont appelés à superviser directement le déploiement de ce système, à garantir sa mise en service rapide et à vérifier la fiabilité des données justifiant les absences.
Ils devront en outre transmettre un rapport mensuel à la direction générale des services communs de la présidence du gouvernement, comportant le tableau des absences, signé et accompagné, le cas échéant, des décisions disciplinaires correspondantes.
Ce dispositif doit être généralisé à toutes les structures publiques, afin d’assurer la continuité des services de l’État, renforcer la discipline administrative et restaurer la confiance des citoyens dans l’administration.
La note précise enfin que l’usage de la biométrie ne dégage pas les responsables administratifs de leur devoir de contrôle effectif du respect des horaires et de l’accomplissement des obligations professionnelles.


