Le ministre de la Santé, Imed Hammami, qui conduit la délégation tunisienne à cette rencontre, a souligné dans son allocution que la Tunisie compte près de 1.500 plantes médicinales en plus des stations thermales implantées dans différentes régions.

Hammami a rappelé, à ce propos, que le système sanitaire national se base sur une médecine préventive et une maîtrise de la médecine moderne. En tirant profit des bienfaits de la médecine traditionnelle, le recours aux médicaments par les patients est moins important, épargnant ainsi des effets secondaires possibles et des frais supplémentaires, a-t-il notamment expliqué.

La Tunisie occupe la deuxième place mondiale -derrière la France- dans le domaine de traitement par les eaux thermales, a encore ajouté le ministre de la Santé, mettant en relief les efforts déployés pour encourager l’investissement dans ce domaine.