“Le classement de la Tunisie sur la liste noire des pays susceptibles d’être fortement exposés au blanchiment de capitaux et au financement du terrorisme n’est pas une sanction, il s’agit plutôt d’une opportunité d’aller vers plus de vigilance et d’efficacité dans la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme. Nous allons travailler ensemble avec les autorités tunisiennes pour que le pays soit retiré d’ici l’été prochain de ce classement”. C’est ce qu’a déclaré, mercredi 7 février, Patrice Bergamini, ambassadeur de l’Union européenne en Tunisie, qui s’exprimait suite à la publication d’une nouvelle liste dans laquelle figure, une nouvelle la Tunisie.