Forbes, magazine qu’on ne présente plus, vient d’établir la liste des “100 premières entreprises de la région MENA“, en termes de ventes, de bénéfices, d’actifs et de valeur boursière.

Et l’une de ces firmes nous concerne particulièrement, nous Tunisiens, à savoir le groupe de télécommunications qatari, Ooredoo, qui se hisse à la 25e position (sur 100) dans le classement Forbes Global 2000.

Toujours selon Forbes, à fin mars 2020, Ooredoo faisait partie des “trois premiers opérateurs régionaux de télécommunications“, avec un chiffre d’affaires de 8,2 milliards de dollars et des bénéfices de 611 millions de dollars.

Forbes assure que malgré les conditions difficiles dues à la crise de la Covid-19 (auxquelles Ooredoo a apporté une réponse solide et efficace), le groupe télécoms a su conserver des actifs d’une valeur de 24,2 milliards de dollars et une valeur de marché globale de 5,2 milliards de dollars.

Quant au management de Ooredoo, tout en faisant état de ces performances, il n’a pas manqué de souligner le rôle qu’ont joué ses filiales au Moyen-Orient, en Afrique du Nord et en Asie du Sud-est dans l’obtention de cette distinction.

En effet, pour le président directeur général du groupe, Cheikh Saoud Bin Nasser Al Thani, «cette distinction reflète notre croissance et vision phénoménales. Nous avons fait des pas de géant depuis la création, en 1949, de Qatar National Telecom Service avec un central téléphonique à Doha d’une capacité de 50 lignes seulement …».

Puis de poursuivre : « nos équipes dans le monde entier ont travaillé ensemble pour permettre aux communautés que nous servons de bénéficier de mesures de secours, de solutions innovantes et de services numériques dont elles ont grand besoin ».

Tout ceci pour dire que Ooredoo fait partie de ces firmes mondiales qui ont été peu ou pas impactées par la pandémie de la Covid-19, grâce à un management efficace et visionnaire.

D’après communiqué