Après une première soirée du débat politique où on avait tendance à l’indulgence et à l’euphorie pour cette première dans une élection en Tunisie, la 2e manche de ce débat a laissé paraître les limites de la formule.

Ce plateau est devenu plus une tribune électorale pour les candidats qu’un véritable débat; dans cet exercices des questions/réponses on avait plus l’impression d’assister à un examen oral où le candidat qui s’est le mieux préparé peut espérer en sortir avec une bonne moyenne.

Ces impressions ressortent dans les tweets de la soirée où les commentaires concernent rarement les réponses aux questions :