Le ministre des Technologies de la communication et de l’Economie numérique, Anouar Maarouf, a déclaré que la Tunisie dispose d’un potentiel important pour le lancement de start-up, annonçant que le gouvernement va accélérer l’examen de la loi relative à ces entreprises qui comporte 20 articles pour créer un changement dans le modèle économique du pays.

Maarouf a ajouté, vendredi 2 février, lors de la première rencontre d’une série de réunions qui seront organisées par la commission de l’industrie, de l’énergie relevant de l’ARP, pour débattre d’un projet de loi relatif aux start-up, que la Tunisie est classée dans des positions avancés en matière de créativité, en plus de son classement comme première ville dynamique africaine, selon un rapport allemand, ce qui la qualifie à développer ce type d’entreprises.

Il a passé en revue les succès réalisés par certaines start-up sur le plan mondial dont “facebook” et “Skype”, précisant que les start-up sont aptes à générer des postes d’emploi (25% de postes d’emploi aux Etats-Unis sont assurés par les start-up).