
Et si les employés sont en colère, c’est parce que, disent-ils, «Bic est largement bénéficiaire», et donc cette opération de délocalisation ne vise ni plus moins que «d’augmenter ses marges bénéficiaires».
De son côté, le site spécialiste des économies du pourtour méditerranéen, econostrum, “enfonce“ un peu plus le clou, en soulignant que ce sont les Tunisiens qui seraient les gagnants de cette opération. Mais il faut bien reconnaître que les Tunisiens n’ont pas “volé“ ce choix du management de Bic porté sur eux, car «l’usine de Bizerte est la première usine verte du groupe dans le monde…», de ce fait logiquement le site de Bizerte «… reprendra 80% de la production de Vannes, notamment les stylos Atlantis et Velocity».


