
Le groupe A réunit le Maroc, pays hôte, la Zambie, les Comores et le Mali. Le Maroc ouvre la compétition dans une poule où figurent deux équipes habituées des phases finales, le Mali et la Zambie, ainsi qu’une sélection comorienne en progression.
Le groupe B comprend l’Égypte, l’Afrique du Sud, l’Angola et le Zimbabwe. Cette poule associe des sélections au palmarès continental établi à des équipes cherchant à franchir un cap lors de cette édition.
Dans le groupe C, le Nigeria affronte la Tunisie, l’Ouganda et la Tanzanie. Ce groupe rassemble des équipes aux profils contrastés, avec un favori historique et trois sélections aux dynamiques différentes.
Le groupe D est composé du Sénégal, de la République démocratique du Congo, du Bénin et du Botswana. Le Sénégal, tenant du titre [à vérifier], figure dans une poule où plusieurs équipes visent une qualification parmi les deux premières places ou via le classement des meilleurs troisièmes.
Le groupe E réunit l’Algérie, le Burkina Faso, la Guinée équatoriale et le Soudan. Cette configuration met en présence des sélections régulièrement présentes dans les phases à élimination directe.
Enfin, le groupe F rassemble la Côte d’Ivoire, le Cameroun, le Gabon et le Mozambique. Ce groupe se distingue par la présence de plusieurs anciens vainqueurs de la compétition.
Un format qualificatif élargi
À l’issue de cette phase, les deux premières équipes de chaque groupe, ainsi que les quatre meilleurs troisièmes, accèdent aux huitièmes de finale. Cette formule renforce l’importance de chaque match dès la phase initiale.


