
Selon la page Facebook de la Délégation permanente de Tunisie auprès de l’UNESCO, ce nouvel acquis conforte la place de la Tunisie parmi les principaux pays arabes et africains en matière de patrimoine culturel et naturel reconnu à l’échelle mondiale. Les éléments tunisiens inscrits couvrent un large éventail, incluant des biens culturels matériels et immatériels, des sites naturels et des documents du Registre de la Mémoire du monde.
Le patrimoine tunisien à l’UNESCO se répartit comme suit :
Patrimoine mondial culturel et naturel (8 sites) :
– L’île de Djerba (2023)
– Dougga (1997)
– La médina de Sousse (1988)
– Kairouan (1988)
– La cité punique de Kerkouane et sa nécropole (1985)
– Le Parc national de l’Ichkeul (1980)
– La médina de Tunis (1979)
– Le site archéologique de Carthage (1979)
– L’amphithéâtre d’El Jem (1979)
Patrimoine culturel immatériel :
Dossiers nationaux (4) :
– Les arts du spectacle chez les Twayef de Ghbonten (2024)
– La harissa (2022)
– La pêche à la charfiya aux îles Kerkennah (2020)
– La poterie des femmes de Sejnane (2018)
Dossiers communs avec d’autres pays arabes (6) :
– Le khôl arabe (2025)
– Le henné (2024)
– La gravure sur métaux (2023)
– Le palmier dattier (2022)
– La calligraphie arabe (2021)
– Le couscous (2020)
Registre « Mémoire du monde » (3 archives) :
– Le fonds musical du baron Rodolphe d’Erlanger (2023)
– L’abolition de l’esclavage en Tunisie (2017)
– La Course et les relations internationales de la Régence de Tunis (2011)
La Tunisie poursuit activement la préparation de nouveaux dossiers en vue de leur inscription sur les listes de l’UNESCO, y compris dans le cadre du Réseau mondial des géoparcs, conformément aux règles et procédures internationales en vigueur.


