
Cet institut, dont les membres sont aussi bien des banques centrales que des acteurs privés de la finance, souligne dans ce rapport que la dette mondiale a augmenté de plus de 21.000 milliards de dollars au cours du premier semestre de l’année.
La Chine, la France, les États-Unis, l’Allemagne, la Grande-Bretagne et le Japon ont enregistré les plus fortes augmentations des niveaux d’endettement en dollars américains, bien qu’une partie de ces hausses soit due à la baisse du dollar, selon l’IIF.
Depuis le début de l’année, le billet vert a perdu 9,75% de sa valeur par rapport à un panier de devises de référence.
“L’ampleur de cette augmentation est comparable à celle observée au second semestre 2020, lorsque les réponses politiques liées à la pandémie (de COVID-19) ont entraîné une augmentation sans précédent de la dette mondiale”, dit l’IIF dans son rapport Global Debt Monitor.


