
En ces circonstances, le groupe WMC lui rend hommage pour ses qualités humaines, mais aussi et surtout pour la qualité de sa plume journalistique. Qu’est-ce qu’il écrivait bien ! Bouamoud aura vécu par et pour la langue française.
Par cette disparition, la presse francophone tunisienne perd un de ses dignes représentants. Pour sa part, la littérature française en générale (les COMAR d’Or en sont témoins) et la langue française en particulier perdent un éminent défenseur.
Il aimait la pureté de la langue de Molière dans toutes ses dimensions. Il ne supportait pas qu’on «blesse» cette langue qu’il chérissait comme son bien personnel !
Repose en paix l’ami.


