
Il faut conjuguer tous les efforts des intervenants dans cette filière pour aboutir à un système de sécurité professionnelle adéquat, souligne-t-il, rappelant que son département se penche, déjà, sur la mise en place d’un système électronique sur les entrées terrestres et marines de ports commerciaux.
De son côté, le secrétaire général de la Fédération générale du transport à l’UGTT, Moncef Ben Romdhane, point du doigt “l’absence des fondements de la santé et la sécurité professionnelle dans l’ensemble des ports tunisiens, lesquels emploient près de 10.000 personnes, et surtout dans le port de Radès qui compte plus de 1.200 employés”.
D’après le syndicaliste, le système actuel souffre de plusieurs défaillances, notamment l’absence d’une infrastructure qui prend en considération les conditions de la sécurité, le non respect des exigences de sécurité dans le travail par les intervenants, dont la fourniture des tenues et des chaussures nécessaires pour les employés des ports.


