Il faut avouer que durant le mois saint, la politique et ses soubresauts ne “jeûne“ pas aussi bien chez nous qu’à l’étranger, et je survolerai d’un tweet la réaction de TRUMP qui, à partir d’Air Force One, a renvoyé l’EUROPE à son passé et ses archives. LA FRANCE doit regretter d’avoir envoyé LAFAYETTE se battre contre les sécessionnistes. Et drôle de retour de l’histoire, voilà DONALD qui fait sécession.

Alors revenons à nos moutons et nos tripes comme dirait un syndicaliste de mes relations, lequel veut, coûte que coûte, renvoyer Chahed à ses chères études… Cette fixation sur ce monsieur, qui semble faire ce qu’il peut avec ce qu’il a et les moyens qu’une ARP tordue met à sa disposition, me semble dépasser l’entendement. D’ailleurs, il n’est pas le seul qui tire à boulets rouges sur ce gentil garçon qui du reste apprend très vite d’autant plus qu’il a été formé à Bonne et Coriace Ecole…

Compte tenu du fait qu’un peuple en pleine ébullition qui découvre, du jour au lendemain, la liberté d’expression ressemble à ce gosse qui découvre la mer la première fois, je me pose de plus en plus la question sur ces agressions à répétition et surtout les excès multiformes qui sont de mise et dans certains cas ressemblent aux tweets trumpistes. J’avoue avoir été assez choquée par :

  • Les menaces à répartition des SGA de l’UGTT qui veulent la peau de YC sans donner de justificatif viable ; parmi eux un descendant d’un illustre insulaire, lequel à l’époque s’intéressait à son île natale, devenue depuis quelques mois une morgue pour des harragas désespérés, et cet individu qui n’honore pas son nom si son île répète à qui veut l’entendre que YC a échoué !
  • La campagne télévisuelle d’une chaîne dont je ne comprends ni les motivations ni les objectifs, qui dénigre à longueur de journée YC et son équipe.

Pour le reste, ni les réactions mesquines du fiston ni les lamentables appels à la sédition d’un frontiste ne me dérangent, je n’ai pas l’habitude de curer les fosses septiques, il y a des spécialistes pour ça !

Et encore une fois, ces beaux parleurs aux costumes bien coupés et aux cheveux gominés ne savent rien faire d’autre que de parler et défaire ; car pour faire, il faut travailler, et ça c’est une autre paire de manches. N’est-ce pas HAMMA ?

Alors foutez-lui la paix ou venez bosser, sinon shut up !