
Le management de l’entreprise explique avoir été contraint de fermer l’usine la semaine dernière, et ce suite à de graves violences ayant mis en péril la sécurité de ses employés et de ses installations industrielles.
Le document précise que ce retour à la normale a été rendu possible grâce à la réactivité de la présidence du gouvernement à travers le ministère de l’Intérieur et du gouverneur de Ben Arous, mais aussi de l’engagement et le civisme des employés de l’usine SAIPH, désireux de reprendre au plus vite leur travail.
Aujourd’hui, la fabrication a repris, assure la direction de l’entreprise, soulignant que les derniers événements survenus n’ont eu aucun impact sur la disponibilité des médicaments SAIPH sur le marché.


