
Ces chiffres effroyables ont été communiqués en marge d’une rencontre, organisée vendredi 25 décembre à Tunis, par le chargé des relations avec les médias au ministère de l’Intérieur.
Il a assuré que le département coordonne avec l’appareil judiciaire au sujet des Tunisiens qui sont retournés des foyers de tension et ceux impliqués dans des actes terroristes.
En ce qui concerne les éléments relaxés par la justice, le responsable a précisé que le ministère de l’Intérieur a décidé des mesures administratives à leur encontre portant sur leur contrôle et leur placement en résidence surveillée.


