
Et c’est là que les ennuis commencèrent pour les juges qui le jugèrent : le procureur plaida la peine de mort, le ministre et même le président entérinèrent la condamnation, puis le pauvre bougre se retrouva dans le couloir de la mort. Les LIGUES DE DROIT DE L’HOMME se liguèrent contre ces pauvres fonctionnaires qui ne firent que leur travail et appliquer la loi que des députés élus démocratiquement votèrent un jour où un autre captagonisé tira sur des touristes à quelques encablures du palais où ces derniers faisaient de leur mieux pour enfanter dans la douleur de la démocratie…
L’argument invoqué par cette meute de droitistes hommistes: les droits de vivre de l’homme quoiqu’il soit! Ces sacrés de droits de l’Homme! Mais lesquels des droits de l’Homme : ceux de tous les jours, ou ceux qui étaient condamnés après avoir tué leur prochain? Et les voilà ces experts qui occupent les plateaux, qui pérorent sur les ondes des radios et qui répètent à qui veulent bien les entendre que même les criminels ont droit à la vie quelle que soit l’horreur de ce qu’ils ont commis ces pauvres hères qui avaient condamné a mort des gens qui ne demandaient qu’à vivre normalement dans un pays normal.
Mais ces fous de DIEU protégés par des fous du DROIT ont-ils droit à la vie? La question qui se pose est de savoir si ce sont ces pauvres hères ou leurs défenseurs ont le plus le droit à une vie sereine et paisible dans un pays sain et rassuré et surtout protégé de ces fous des plateaux et des fréquences radio que DIEU les pardonne!


