Panoro Energy a annoncé à Oslo, mercredi 25 août 2021, un chiffre d’affaires de 105,8 millions de dollars et un EBITDA à 65,9 millions de dollars pour le premier semestre de l’année 2021. Sa part de production était d’environ 7 700 b/j.

Au 30 juin 2021, la liquidité en banque s’élevait à 93,1 millions de dollars (dont 10 millions de dollars de liquidités détenues pour couvrir une garantie bancaire) et la dette brute à 104,3 millions de dollars, résultant d’une dette nette de 11,2 millions de dollars.

En Guinée équatoriale, le premier des trois puits de développement prévus dans le complexe d’Okume a été achevé et a rencontré un réservoir de sables saturé en pétrole de bonne qualité.

Au Gabon, l’achèvement et le raccordement des puits de production DTM-6H et DTM-7H sont en cours avec un démarrage de la production prévu au quatrième trimestre de l’année en cours.

En Tunisie, la production brute actuelle est supérieure au niveau de 5 000 b/j avec un certain nombre d’opérations de puits prévues sur les puits des Concession El Ain et Cercina.

En Afrique du Sud, l’opérateur du bloc 2B prévoit de lancer le forage du puits d’exploration Gazania-1 bien avant la fin de l’année 2021.

Panoro continue de progresser vers la vente de ses intérêts dans l’OML 113 et le champ d’Aje à PetroNor E&P. En raison des conditions liées à la Covid-19, la date limite a été prolongée pour laisser plus de temps au processus d’approbation réglementaire. Une fois la transaction finalisée, Panoro distribuera à ses actionnaires des actions de PetroNor E&P reçues en contrepartie.

L’entreprise s’attend à ce que sa part nette de production grimpe à environ 9 500 b/j d’ici la fin de l’année 2021, et ce suite à la contribution des cinq nouveaux puits de production en Guinée équatoriale et au Gabon…

Les dépenses d’investissement pour 2021 (hors frais d’acquisition) devraient s’élever à 45 millions de dollars, dont 6,9 millions de dollars ont été dépensés au premier semestre.

John Hamilton, Chief Executive Officer de Panoro Energy a déclaré dans ce cadre: “Le premier semestre 2021 sera considéré comme un point d’inflexion pour Panoro, car le changement radical de la production et de la contribution financière découlant de nos récentes acquisitions, ainsi que les prix du pétrole plus élevés d’une année sur l’autre, se traduiront en résultats. Nous disposons d’une base financière solide et sommes entièrement financés par un programme de croissance organique qui offre une perspective d’atteindre une production nette d’environ 9 500 b/j d’ici la fin de l’année, vu  que cinq nouveaux puits de production entrent en service en Guinée équatoriale et au Gabon…”.