Le gouvernement Chahed semble plus convaincu de l’urgence d’un état d’urgence économique, sa feuille de route pour tenter de réanimer ce qui peut être sauvé de l’économie tunisienne prévoit, notamment, “d’importantes réformes à moyen terme, dont la modernisation de l’administration publique pour garantir, à travers des mesures administratives simplifiées destinées aux entreprises, un climat administratif développé et approprié aux affaires.

Dans ce même document, le gouvernement compte développer la gouvernance des entreprises publiques sur la base d’une approche participative.

Le gouvernement cherche désormais à mettre en place les bases nécessaires pour développer le numérique en Tunisie et faire du pays un hub et une plateforme numérique. Pour cela, il s’engage à assurer le cadre législatif, le financement, les ressources humaines et le climat idoine à même d’intensifier l’investissement dans ce secteur.

Pour Samir Majoul, «il n’y a pas de conflit avec la centrale ouvrière, nous servons les mêmes desseins car sans entreprises, il n’y aura pas de création de richesses et d’emplois, et sans force de travail, les entreprises ne peuvent pas réussir. Nous sommes dans une logique de construction d’une économie forte et compétitive et non de litiges insensés qui ne sont dans l’intérêt de personne, ni de l’entreprise ou des employés».

SOMMAIRE

  • Le gouvernement Tunisien en état d’urgence économique
  • Youssef Chahed: Nous voulons faire de la Tunisie une plateforme numérique
  • Tunisie: Le transfert d’argent par téléphone entre comptes bancaires et postaux dès
    avril 2018
  • OCDE : L’économie tunisienne se redresse, mais…
  • OCDE : La Tunisie doit mettre de l’ordre dans ses finances publiques
  • FMI : Longue est la liste des réformes non réalisées
  • Bilan de la BCT : Le besoin des banques en refinancement a augmenté de 54%
  • Tunisie : Le moment est-il propice pour sortir sur le marché financier international?
  • L’encours des crédits bancaires destinés à la consommation dépasse les 22 milliards de dinars
  • Samir Majoul : «Chez nous, le paradis fiscal est pour l’informel et l’enfer fiscal est pour
    le formel» (Première partie)
  • UTICA: «La seule guerre que nous mènerons avec l’UGTT est de faire de chaque employé un patron», dixit Samir Majoul
  • Anouar Maarouf : La transformation digitale peut augmenter le taux de croissance du pays de 1,5 à 2,3%
  • La création d’emplois de qualité permettra de réduire les disparités de niveau de vie
  • La Tunisie recule de 5 places dans le classement mondial de performance environnementale 2018

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