Badreddine Ouali, un patron adepte du bénévolat

Badreddine Ouali, fondateur et président de Vermeg, éditeur de logiciels pour le marché financier, également à la tête du groupe belge BSB dont il a récemment pris le contrôle, est un adepte du bénévolat.

Ce diplômé de l’Ecole des Mines de Saint-Étienne, qui avait déjà donné naissance, au début des années 90, au groupe BFI, dont il a ensuite cédé la majorité du capital dix ans plus tard à son associé, Habib Ben Hariz, pour aller créer Vermeg en Europe, vient de faire son entrée, à titre bénévole, au conseil d’administration de Software Productivity Group (SPG) pour aider son fondateur et p-dg, Sahbi Gargouri, à en développer l’activité.

Le patron de Vermeg est également entré récemment au conseil d’administration de la Maison de Tunisie à Paris, à laquelle l’ambassadeur Adel Fekih est en train de donner un nouveau souffle.

Last but not least, Badreddine Ouali, dont le groupe réalise un chiffre d’affaires de 60 millions d’euros, est également le porte-parole en Tunisie de Qatar Friendship Fund.

M.M.