L’OACA via le SMS et le WIFI

Par : Autres

L’OACA via le SMS et le WIFI

 

L’Office de l’Aviation Civile et des Aéroports (OACA) a lancé coup sur coup
2 services axés sur les TIC :

 

1- Accès Internet aux passagers dans les aéroports : Via la
technologie WiFI Wireless Fidelity, ce projet a été réalisée par Planet
Tunisie et a été déployée dans les aéroports de Tunis-Carthage, Monastir et
Djerba et va donner la possibilité aux passagers des grands aéroports
tunisiens d’utiliser Internet pendant leur présence à l’aéroport, tout en
gardant leur liberté de mouvement. Actuellement l’aéroport de Tunis-Carthage
est connecté depuis le lundi 2 mai, Djerba le sera dans 2 semaines et
Monastir à partir du 16 mai, via des bornes fonctionnelles de WIFI.

 

Ces bornes vont permettre de couvrir 100% de l’espace public avec un débit à
l’intérieur de l’aéroport et 54 Mégabits/seconde. Le mode de paiement sera
par l’acquisition d’un timing payable via une carte de crédit bancaire, ou
via la carte d’embarquement, ce qui garantira la sécurité du paiement.

 

Toutefois, pendant la période d’essai, le service Internet sera sous douane
et tout à fait gratuit.

 

2- Consultation des horaires d’avion via SMS, ce service existe
actuellement via le site web de l’OACA. On pourra désormais savoir l’horaire
des avions via SMS, moyennant 360 millimes le SMS et ce via l’accès par le
numéro 87012, qui permettra l’accès à 3 services : les renseignements sur un
vol, la liste des vols en provenance d’une ville et enfin les vols en
partance pour une ville.

 

Actuellement, les renseignements par SMS se limitent aux vols de la même
journée et le service sera étalé sur les vols de plusieurs jours. Ce service
concernera uniquement les vols des aéroports de Tunis-Carthage, Djerba et
Monastir.

 

L’OACA démontre encore une fois son engagement pour les TIC et assure ainsi
un service selon les standards mondiaux, ce qui démontre une visibilité
claire et une stratégie appuyée, malgré les contraintes de la réglementation
des marchés, qui a conduit a l’annulation de plusieurs marchés d’acquisition
de TIC, ou qui obligent l’OACA de demander l’avis de la commission
supérieure des marchées, pour des achats dont la valeur ne dépasse pas
parfois un budget de 150.000 dinars tunisiens.

 

A.B.
 

09 – 05 – 2005 ::
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