
La prochaine étape nécessite, d’après le premier responsable de l’UTICA, le développement des échanges commerciaux, le renforcement de l’investissement conjoint et la réalisation d’une véritable intégration industrielle dans les secteurs stratégiques.
Pour la réalisation d’un saut qualitatif dans la coopération bilatérale, Majoul recommande le développement du cadre législatif, la facilitation des procédures et davantage d’incitations aux investisseurs, tout en se concentrant sur les secteurs à forte valeur ajoutée et en surmontant les difficultés liées au transport maritime.
Pour sa part, le directeur général de l’Agence de promotion de l’investissement extérieur (FIPA), Jalel Tebib, est revenu sur le climat des affaires en Tunisie qui connaît, d’après lui, une amélioration continue. Il estime que les investissements étrangers suivent une tendance haussière, soulignant la disponibilité de compétences humaines qualifiées capables d’assurer la réussite des projets.
Tebib a invité, à Riyad, les investisseurs saoudiens à renforcer leur présence en Tunisie, affirmant que les structures concernées sont disposées à les accompagner et à réunir les conditions favorables à la réussite de leurs investissements.


