Le manque de moyens de financement pour développer l’investissement et l’exportation sur les marchés africains constitue l’obstacle majeur au positionnement des investisseurs sur ces marchés, avec des économies devenues les plus dynamiques dans le monde, selon Anis Jaziri.

Il met en cause la réticence des banques tunisiennes à accéder aux marchés africains par crainte des risques potentiels alors que le rôle des institutions financières est de partager les risques avec les hommes d’affaires et de présenter les spécificités du marché africain aux investisseurs et opérateurs économiques.

Par ailleurs, il rappelle que les banques tunisiennes ont réalisé des résultats financiers positifs et une croissance soutenue du produit net bancaire à un moment où l’économie nationale passe par une grave crise…

D’après lui, pour accéder aux différents marchés africains, il faut avoir de l’audace d’agir et de la volonté politique…