
Il a rappelé que les lagunes côtières, parfois connues sous le nom d’étangs ou lacs littoraux sont des écosystèmes dynamiques se formant pendant les périodes de montée du niveau de la mer ont été exploitées, de façon durable, par l’homme pour les pêches artisanales, la cueillette, la chasse, la navigation et l’extraction du sel dans les salins.
Le chercheur a ajouté que l’urbanisation, l’industrialisation, l’intensification de l’agriculture, la création de ports industriels et touristiques ont contribué à dégrader la richesse écologique des lagunes côtières.
Pour stopper ces dégradations et retrouver le bon état écologique des lagunes, il a notamment recommandé l’implantation et le développement des herbiers afin de permettre un changement dans la biodiversité des étangs.
Il a mis l’accent sur la nécessité de tracer une feuille de route pour assurer la restauration écologique des lagunes, et ce à travers l’identification et l’évaluation des services écosystémiques ou bénéfices que les hommes tirent des écosystèmes répartis en quatre catégories, à savoir les services supports, d’approvisionnement, de régulation, culturels et sociaux.


