
Le manque à gagner par l’effet de cet impact est estimé à plus de 4 milliards de dinars. Nous sommes bien loin du milliard et demi de dinars, montant des majorations salariales et des promotions que le gouvernement œuvre à geler pour deux ans. L’affaire est grave car le gouvernement n’a pas prévu de ressources pour boucher ce nouveau trou budgétaire.
Rappelons que cette chute est en partie à l’origine du taux d’endettement lequel est passé de 53% du PIB au mois de juin à 63% au mois de septembre 2016.
ABS
		







