Le Président de la République, Kaïs Saïed, a reçu hier, lundi, au palais de Carthage, le premier vice-président de la Cour pénale internationale (CPI), Rosario Salvatore Aitala, et le juge auprès de la même cour, Haïkel Ben Mahfoudh.

Le Président de la République a souligné que cette longue évolution reflète l’attachement des Etats à leur souveraineté et les aspirations de la communauté humaine. Il a signalé que cette communauté est aujourd’hui plus avancée que la communauté internationale traditionnelle et que, inévitablement, le système international évoluera, mettant fin à la hiérarchisation des peuples et des nations. “Ainsi les aspirations de l’humanité à la sécurité, à la paix, à la justice et à la liberté deviennent plus fortes que le bruit des canons, des bombardements et des explosions”, a-t-il expliqué.
A cette occasion, le chef de l’État a réaffirmé la position constante de la Tunisie concernant le droit du peuple palestinien à établir son État indépendant, pleinement souverain, sur l’ensemble des terres palestiniennes, avec Jérusalem comme capitale. Il a, dans ce contexte, salué les positions de la Cour pénale internationale à l’égard des crimes de guerre commis, et encore perpétrés, par l’entité sioniste.
		

