
Ce phénomène ne se limite pas au secteur de l’ingénierie. Le secteur médical et paramédical est également fortement touché, représentant 41% des émigrés qualifiés. L’enseignement supérieur et la recherche scientifique ne sont pas épargnés, avec un constat alarmant : les universités arabes progressent dans les classements mondiaux en partie grâce aux compétences tunisiennes.
Face à cette situation préoccupante, Samir Hamdi plaide pour une stratégie nationale ambitieuse. Il préconise notamment d’améliorer les conditions de travail dans le pays, afin de rendre les emplois plus attractifs. Les entreprises sont également appelées à jouer leur rôle en mettant en place des politiques de ressources humaines plus séduisantes.
(Source : Echaab News)


