
En tout cas, Taïeb Baccouche appréhende cette situation: «J’ai été certes désigné au poste du secrétaire général de l’UMA par l’Etat tunisien. Mais cela s’est fait avec l’aval des cinq pays du Maghreb arabe ». Par conséquent, «… le président Kaïs Saïed ne peut pas me limoger unilatéralement, sauf s’il obtient l’accord unanime des chefs d’Etat de ces cinq pays », poursuit-il. Mais «s’il insiste à faire cette démarche, il commettra une erreur catastrophique qui lui nuira et nuira aussi à la Tunisie», avertit-il.


