
Les fonds proviendront de ses entreprises partenaires, des institutions de financement du développement et de grands groupes financiers. «Le défi ici n’est pas de mobiliser cet argent, mais plutôt celui de trouver de bons projets à financer», a expliqué Mme Ramos.
Concernant l’investissement dans le renforcement des compétences, Barclays devrait y injecter l’équivalent en rand sud-africain de 93 millions $. Le groupe part de l’hypothèse que l’une des causes du chômage en Afrique du Sud, et dans la région en général, est le déficit de compétences. Il tire cette principale leçon d’une enquête effectuée il y a un an à l’échelle africaine, pour savoir ce que feraient les jeunes si on leur donnait 100 $. Une part importante d’entre eux avait répondu vouloir financer leurs études.


