
La première concerne les investisseurs résidents qui désirent s’exporter. Le montant des transferts à l’étranger à des fins d’investissement va augmenter de 3 MDT actuellement à 10 MDT dorénavant. Cette disposition est assortie de deux conditions: continuer à investir en Tunisie et exercer la même activité à l’étranger.
La seconde intéresse les sociétés non résidentes établies en Tunisie exclusivement dans l’industrie et régulièrement constituées et dotées d’une situation financière saine qui pourront désormais bénéficier de financement en dinars. Cette disposition est également soumise à certaines conditions. Le financement doit porter sur l’acquisition de matériels roulants utilitaires ou de matériel d’équipement nécessaire à l’acquisition de l’activité uniquement; le remboursement devra se faire en devises (crédits leasing).
Pour la BCT, il s’agit d’un nivellement vers la convergence des deux régimes off shore et on shore. Autre objectif poursuivi: la dynamisation des crédits leasing.


