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 Malheureusement, le consommateur tunisien n’agit pas 
    en tant que régulateur. Ce ne sera pas le commerçant qui le fera à sa place. 
    Le Tunisien, en ce qui concerne sa consommation quotidienne, préfère la 
    solution la plus pratique même si elle est surtaxée. Que le commerçant 
    profite. Si le consommateur réfléchissait, le commerçant aurait une autre 
    attitude pour gagner des parts de marché. Regardez par exemple le business 
    des mariages, le consommateur fonctionnant par ses émotions et non sa raison 
    encourage tous types de prestataires à surfacturer et de réaliser des marges 
    mirobolantes. Et nous nous trouvons à rechigner derrière l’épicier ouvert 
    nuit et jour ou le glibettier de la plage qui finance ses études sur 
    quelques millimes de marges en plus. Cette marge s’appelle service.  
    Lyès ZAHAF 
 
    Réaction à l’article : 
    Pour une saine concurrence 
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