Avant 2011, la STEG affichait l’un des taux de pertes globaux les plus faibles (environ 10%) en Afrique, comparable à celui de nombreux pays d’Europe. Depuis lors, les pertes ont augmenté à 18% en 2017, principalement en raison de la croissance des pertes commerciales. Bien que tous les clients de la STEG soient au compteur, le vol d’électricité et le non-paiement des factures constituent un défi croissant depuis les événements de 2011.

En dépit des progrès enregistrés au niveau des politiques de maîtrise de l’énergie, la mise en œuvre des programmes semble être en déphasage par rapport aux ambitions exprimées.

Le système énergétique tunisien a besoin d’une profonde transformation durant les prochaines décennies basée sur le renforcement des actions d’efficacité énergétique et pour une plus grande partie, le recours aux énergies renouvelables.

Source : ITES. Etude la transition énergétique et écologique en Tunisie à l’horizon 205