Ces élections m’ont convaincu de ne plus m’essayer à comprendre la politique … pour autant qu’on puisse encore qualifier “ça” de politique.

Et pourtant, comment se désintéresser de l’avenir de son pays, de l’avenir de ses enfants ? Je voterai donc le 15 septembre, mais sur des bases pragmatiques.

Aucun candidat ne me plaisant, mais certains me déplaisant plus que d’autres, je voterai pour l’un des moins déplaisants à mes yeux. Pour celui qui apparaîtra être le mieux placé pour être présent au second tour.

D’ici là, je ne suivrai pas leurs “débats”, car j’ai mieux à faire de mes journées. J’ai bien essayé hier sur Hannibal, j’ai eu des boutons au bout de dix minutes.

Plus encore que la candidate, au demeurant techniquement performante, c’est la “journaliste” – botoxée, peinturlurée, compassée, envahissante du haut de son incompétence – qui m’a fait décrocher.

Je suivrai en revanche les sondages, puisque les élections sont devenues une sorte de tiercé. Et je miserai sur celui des trois qui pourrait éventuellement ne pas perdre, et nous perdre par la même occasion.

La politique n’est hélas plus ce qu’elle était, elle s’apparente aujourd’hui davantage au PMU qu’à autre chose. Alors soyons turfistes kif 9addar Allah !