Aïn Draham, les chênes, Nour El Aïin,…

 

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“Nour
El aïn et Fej el Attlal un couple”… qui ne fera plus qu’un. En effet,
cet hôtel emblématique est en voie de devenir lui-même une ruine, à l’instar
de feu “les chênes”. C’est l’amer constat qui m’est resté de mon dernier
séjour, l’automne dernier dans cet hôtel.

Ce n’est pas la clientèle qui fait défaut, mais plutôt le service dans cette
région, plus que médiocre, qui a fait fuir une clientèle avide de nature. Je
me rappelle qu’il y a même pas une décade où il fallait y réserver son
week-end un mois voire 6 semaines à l’avance. La clientèle était composée
d’habitués. Mais au fur et à mesure, elle fut dégoûtée de la dégradation de
la qualité des services au point de ne plus penser y revenir.

Moi-même, je penser revenir un week-end sur deux, mais au vu des
prestations, je me suis résolu à revenir pour la journée et aller m’endormir
à Tabarka.

Lyes.zahaf


Réaction à l’article :
Voyage au pays de l’anti-stress


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