
«Quelle que soit la décision du ministère, les agences de voyage vont organiser cette année la «Omra» sous la houlette de la FTAV qui a préparé tout un processus de sélection des agences qui répondent aux exigences d’un cahier de charges qui a été bien élaboré par des professionnels du secteur», a affirmé M. Toumi qui ajoutera que sa Fédération n’a pas baissé les bras et elle a demandé officiellement de prendre en charge d’au moins 25% du trafic de la «Omra» pour cette année ou l’équivalent de 15.000 pèlerins.
Le président de la FTAV a également fait savoir que son institution exige la libéralisation partielle du secteur de la «Omra». L’organisation de la «Omra» par les agences de voyage est, dit-il, sans aucun doute un droit qui a été violé par l’ancien régime après la promulgation de la fameuse loi de 1998.
Pour finir, M. Toumi a tenu à assurer que la FTAV déploie actuellement d’importants efforts afin de convaincre les autorités de la nécessité de la libéralisation partielle du secteur de la «Omra» dans ce contexte économique difficile, et qu’elle a les moyens nécessaires pour assurer le contrôle sur les agences de voyage et prendre les mesures qui seront destinées à faciliter les modalités d’organisation de la «Omra» afin d’offrir aux pèlerins les meilleures conditions de voyage et de séjour.
		

