Notre Maison de l’exportateur ou CEPEX doit se remuer, j’ai raté des colloques,
des séminaires, des réunions, des opportunités de partenariat, car tout
simplement le seul moyen efficace qu’il soit aux yeux de nos chers responsables
demeure les journaux, oubliant qu’aujourd’hui j’ai besoin de l’information
précise et directe; on a plus le temps de lire les messages et de fouiller pour
trouver un petit cadre qui siège dans une page jonchée d’annonces de location,
de vente ou je ne sais quoi, avec une police de caractère de 8, la grande
allégresse que je tombe un jour sur une aléatoire invitation, au point que
j’adorais le logo du Cepex…
Croyez-moi, c’est la pleine lune dans ces ténèbres, imaginez aussi les
déceptions, et les tas de journaux empilés (au grand bonheur de ma femme)
servant bien lors d’un bon nettoyage des vitres. Des fois j’ai raté de lire la
“presse”, conséquence: j’ai su après que dernièrement il y avait un tel ou tel
sujet débattu à la Maison de l’exportation… cela me concernait pourtant.
Frustré, je disais qu’un modeste e-mail aurait pu faire l’affaire, que faire que
de demander à ceux que je connais de m’informer dès qu’ils sont au courant de
quelque chose. Encore plus, j’ai coincé la page d’accueil de mon navigateur sur
la page du CEPEX, cette fois rien ne m’échapperait, je pensais (je tiens le
taureau par les cornes), alors que je suis chez moi “online”, au sein de la
Maison elle-même, pardon la Maison de l’exportateur. Illusions, j’ai beau rater
des réunions qui n’étaient pas annoncés sur le site, c’est vrai on n’affiche que
les dates des foires, c’est vrai aussi que pas mal des fois j’ai trouvé
l’information des jours avant la tenue d’une manifestation sur le site «webmanagercenter»
et j’ai bien assisté.
Alors pourquoi retenir l’information. La preuve: l’été 2007, j’ai bien soutenu
la réunion des délégués du CEPEX dans différents pays, chacun étalait les
aspects du pays où il se trouvait (contraintes et opportunités…), des
informations qui pouvaient être très efficaces pour les opérateurs tunisiens
aidant à conquérir et consolider notre présence sur certains marchés. Depuis, on
a décidé de concocter un petit guide qui doit résumer les différentes
interventions pour le distribuer ultérieurement ou l’envoyer aux gens qui
participaient et qui ont inscrit leur nom et adresses, etc. Bien, bravo!
Enfin, sauf que, aujourd’hui, en automne 2008, j’attends encore ce résumé,
pourtant j’ai réclamé et on m’a beaucoup rassuré…sans parler de la 2ème réunion
de l’été 2008…
A vous de cogiter (avec un sourire je termine, plutôt j’attends encore…).
TT
Réaction à l’article :
Salon tuniso-mauritanien des services: Pourquoi communique-t-on encore mal en
Tunisie ?
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