La crise économique au secours de l’Afrique !

Par : Tallel

Il est notoire que les moins armés face à un fait quelconque, ceux au bas de l’échelle socio-humaine, sont les premiers à subir les égarements des puissants.
Tout comme le servile supporte en priorité l’action du patron, etc.

map-afrique1.jpgQu’il
est ennuyeux diront les uns de flancher sur le sort d’un continent et des
peuples incapables par eux-mêmes à maîtriser leur devenir, distinctement
d’attentes étrangères…

A l’image du peuple américain qui majoritairement ne souhaite contribuer
fiscalement à la sauvegarde d’aventureux financiers, remémorant par là le
refus qu’il exprima fiscalement face au frère-colon britannique et se
trouvant être l’une des bases fondamentales de la naissance des USA.

Chiche pour l’Afrique !!! Euhm…

Il est notoire que les moins armés face un fait quelconque, ceux au bas
de l’échelle socio-humaine, sont les premiers à subir les égarements des
puissants. Tout comme le servile supporte en priorité l’action du patron, etc.

Toutefois, la confirmation d’une règle engendre des droits et obligations
que l’exception de par son caractère conforte en sa sanction. Ainsi qu’il
est subtilement machiavélique l’acception de l’établissement de celles en
gestations précautionneuses d’effets dévastateurs de la crise systémique
actuelle” à laquelle l’Afrique ne saurait échapper.

A l’instar de l’annonce américaine de relance de l’économie par une
injection d’argent en couverture “reprise publique” des égarements des
aventureux financiers à hauteur de 700 milliards de dollars, nécessité par
un souci de lutte préventive à l’accroissement de la pauvreté dans cette
contrée; l’Afrique dont-il n’est un secret de polichinelle sur le niveau de
pauvreté qui est le sien, devrait certainement compter bénéficier
insidieusement de mesure analogue d’acteurs internationaux “Exit les
organisations, etc. africaines
“. PIS alors !!!

Quelle belle preuve testimoniale qu’est la resplendissante intervention
du président Sarkozy (France) à la grande messe de l’assemblée générale de
l’ONU, sollicitant ostensiblement que l’Occident flanche de plus près sur
les relations et situations financières des Etats africains, en recherche
d’absence de répétition d’erreurs du passé !!!

A l’évidence, en contradiction des africains, il ne souhaite point
écarquiller leurs yeux sur le sort africain…

Fort de ses accointances dont-il aime à porter hautement la qualité de
représentant, en expression de l’hardiesse qui est sienne, il semble prendre
le parti de recouvrer l’Afrique “recolonisation…” en contre parti de
l’assistanat en amont, garantissant assurément l’anéantissement de
l’indéniable et indéfectible émigration d’indigents(es).

Vœux confortés non sans étonnement par une majorité des représentants
africains, auxquels l’on peut y adjoindre les inquiétudes minant le
président Béninois Yayi Boni à cette messe, qui réclama des aides pour
permettre aux développements des structures économiques nécessaires afin de
faire face aux besoins populaires.

Poursuivant sa recherche d’un écho salutaire, le président Boni cru bon
de clarifier le sens de sa participation à la grande messe, par des
précisions sur ses inquiétudes en la matière dans un entretien radiophonique
sur les ondes d’un média fort populaire auprès des africains: RFI. Quelle
consternation dans la reconnaissance de l’effort participatif des Africains
à l’évolution de la société…

Une des superbes de nos esprits et langues s’exhume des contradictions
qui y résident, ce qui conduit à ce que l’on ne s’en orgueil en position de
petitesse, signe certainement de fierté grandissante… La Chine n’a-t-elle
pas glané de l’intelligencia extérieure pour magnifier son entrée dans
l’évolution (Cf. expéditions spatiales, technologies, etc.).

Pour bon nombre d’africains aux premiers rangs desquels semblent se
trouver leurs représentants, la dynamique d’amélioration de leurs conditions
de vie ne trouvera son salut que par l’entremise étrangère.

De simpliste perception, il est indéniable que les organisateurs du
bordel économique mondial ne sauraient se détourner et ce distinctement de
tout humanisme d’un bel vivrier en tout genre.

De ce fait, l’Afrique ne saurait être abandonnée, indépendamment de la
bonne manœuvrabilité de ses enfants, elle porte certes partiellement en son
sein bien de convoitise incontournable pour les maîtres de l’évolution.

De plus, comme l’histoire le dénote, ainsi que divers proverbes, après
une chute l’on repart généralement de plus bel.

Alors insidieusement à son tour, l’Afrique pourra se gargariser
d’injonction financière et qu’il est triste, du fait d’efforts d’étrangers.

La coutume africaine d’attente via l’assistance du bienfait des autres
aurait apparemment encore du mal à intégrer l’évolution… Sauf polémique
quant à l’utilité et finalité “exemple du Tchad : désaccord de
redistribution des fonds du pétrole au profit du peuple qui fini par
décourager la banque mondiale” il n’est à coup sûr matière à réjouissance.

Ceux qui aiment à gloser sur l’action néo-colonialiste ont matière à
peaufiner leurs véhémences.

Il n’en reste pas moins que le continent africain va être de nouveau
inondé de cash qui jusqu’ici lui était lancé du bout des doigts au regard
des finalités/destinations qui en étaient faites.

Mais alors se pose la question des acteurs devant poursuivre efficacement
cette charge contre la pauvreté, les précédents: Tchad-Banque Mondiale, les
procédures judiciaires en Europe et en Afrique contre les détournements
personnels etc. n’augurent en soi rien de bon pour l’avenir.

Faudra-t-il là aussi que les bienfaiteurs s’y attèlent…

(Source :

http://www.dabio.net/LA-CRISE-ECONOMIQUE-AU-SECOURS-DE-L-AFRIQUE-!!!_a2839.html
)