On devrait sans doute nous familiariser avec ce nom: Hicham Hamoudi, dans les prochains mois. Il a récemment mis au point une technique révolutionnaire à l’Université Hamed Ben Khalifa (HBKU) de Doha, au Qatar, où il a lancé le programme “Distruptive Technology“ portant sur la création de matériaux hybrides.

C’est en tout cas ce que rapporte tsa-akgerie.com, ajoutant que Hicham Hamoudi a été formé à l’université de Batna, en Algérie. Il a mis au point une nouvelle approche d’impression en 3D moléculaire auto-assemblée. C’est une première au monde.

Gulf-Times (un journal qatari) explique que « l’auto-assemblage moléculaire, c’est l’organisation spontanée de molécules organiques… Hicham Hamoudi a réussi à intégrer ce concept avec la technologie dite de fabrication additive, ce qui permet de produire une nouvelle classe de matériaux hybrides (métal/organique) ».

En clair, c’est bien un procédé révolutionnaire en ce sens que «… ces matériaux aux propriétés uniques ouvrent des horizons illimités pour la recherche et l’industrie. Ils permettent le développement de nouveaux appareils avec des fonctions très avancées ».

Autrement dit, ajoute Gulf-Times estime que « l’invention pourrait donner naissance à une nouvelle génération d’électronique, de capteurs ou encore de cellules solaires ».