Devoteam Tunisie à l’assaut du marché tunisien du conseil

Par : Tallel

devoteam-1.jpgLe Groupe Devoteam, fort de ses 5.000 consultants et de sa présence dans pas moins de 23 pays, a récemment pris sur le marché tunisien. Cette filiale tunisienne Devoteam sera dirigée par Tarek Akrout qui, il y a quelques années, a intégré le pôle conseil de Devoteam en France, comme directeur en charge des activités Risques et Organisation.

Cependant, il faut noter que Devoteam opère déjà en Tunisie, puisqu’on nous apprend que le groupe compte dans notre pays quelques références d’accompagnement en management et systèmes d’information de clients majeurs de la place dans les domaines des télécoms, de la Banque et du Service Public.

Alors, pour en savoir davantage, nous avons rencontré Tarek Akrout qui nous apporte quelques éclairages sur le savoir-faire du Groupe et le positionnement de Devoteam Tunisie.

C’est ainsi que ce Tunisien, ingénieur de son état et rompu au métier de conseil, nous explique que Devoteam est centré sur 3 métiers, à savoir le Consulting, la conception et la mise en œuvre de solutions et la mise à disposition d’expertises de proximité.

Avec pour devise «Connecting Business & Technology», c’est-à-dire «comprendre le métier et les besoins de nos clients et mettre la technologie au service de leurs objectifs stratégiques».

Il rappelle par la suite que Devoteam, née en 1995 suite à la dérégulation du marché des télécoms en France, s’est peu à peu spécialisée dans une offre de service sur-mesure et complète couvrant l’ensemble des besoins de ses clients en termes de stratégie de marché, de marketing, de gouvernance opérationnelle, de transformations SI, d’expertises télécom et d’outsourcing.

C’est à ce titre donc que Devoteam a accompagné, au cours des dernières années, un certain nombre d’opérateurs télécoms majeurs en Europe notamment, mais aussi en Afrique du Nord et au Moyen-Orient.

Par ailleurs, M. Akrout souligne que “Devoteam dispose de plus de 15 retours d’expérience issus à la fois de pays européens et de pays émergents autour de la définition et de la mise en œuvre de programmes E-Gouvernement“.

Autre savoir-faire du groupe, le “Risk Management“ plus spécifiquement «pour le monde bancaire avec des offres de services autour de la conformité réglementaire, de la gestion des risques, des plans de continuité d’activité et de la sécurité des systèmes d’information», précise le DG de Devoteam Tunisie.

L’industrialisation de la production informatique autour d’ITIL, le développement durable, l’innovation technologique, l’urbanisation des systèmes d’information, la gestion de l’information, etc. sont entre autres domaines de compétence de Devoteam.

Quid des projets Devoteam en Tunisie ? M. Akrout nous indique que Devoteam ne compte certes pas inventer la lune, mais le groupe a la ferme volonté d’“être le partenaire des entreprises tunisiennes qui ont entamé ou qui souhaitent entamer une transformation de leur Système d’Information…“, en faisant en sorte que celui-ci soit “levier central de la performance opérationnelle“ de l’entreprise.

Est-ce donc une nouvelle vision du concept “Système d’Information“ dans une structure économique ou autre en Tunisie, que Devoteam compte introduire en Tunisie ? Ca en a tout l’heure. D’ailleurs, M. Akrout l’admet lorsqu’il nous livre comment cette question est considérée à Devoteam ; «un système d’information bien conçu et bien géré représente une vraie opportunité pour l’entreprise pour développer son business, accroître sa performance et maîtriser ses coûts. En revanche, un système d’information inexistant ou inadapté est un frein de taille au développement de l’entreprise. La réussite de ce challenge passe par une implication forte des métiers aux côtés des DSI».

Comprendre par-là donc que Devoteam Tunisie souhaite accompagner les projets de transformation au sein des métiers et au sein des DSI tunisiens «en impliquant nos meilleures compétences et expertises internationales, d’une part, et en renforçant l’expertise de proximité par le recrutement et la formation d’ingénieurs tunisiens sur ces projets, d’autre part».