Héritage de Feu Ali Faouzi GAHBICHE

Par : Autres
Héritage
de Feu Ali Faouzi GAHBICHE

Suite à la parution de votre
article dans lequel vous écrivez :

1- « Pour une raison que l’on peut imaginer » : permettez moi de vous
répondre que ce on imagine très mal n’ayant pas tous les éléments à sa
connaissance.

2- « Et ce n’est pas par hasard si ce communiqué a été publié » le 8 février
en effet le même jour devait se tenir une assemblée générale ordinaire … »
je vous signale que cette assemblée n’a pas eu lieu car tout à fait
ILLEGALE.

3- « Ce dont le reste de la famille ne veut visiblement pas » : la famille
tient avant tout à ce que tout soit fait dans la stricte légalité.

Pour toutes ces raisons, je vous serais reconnaissante de laisser la justice
fasse son travail, d’en tant qu’étant tutrice légale de ma mère qui est
aussi la mère de mon regretté frère (mère dont la part d’héritage est
juridiquement la seule incontestable), je ne fais qu’agir dans le respect de
la loi et des dernières volontés de mon frère.

DONT ACTE

Signé : GAHBICHE ZOUBEIDA

 

 

NDRL : Vous nous demandez de
«laissez la justice faire son travail ». Je vous surprendrai peut être, mais
notre propos et notre intention n’ont jamais été de nous substituer à elle
et encore moins d’entraver son travail. La justice a son travail à faire
–trancher le litige qui a éclaté, en l’occurrence-, mais nous aussi avons le
notre à mener, qui est d’informer sur ce genre d’affaires. Et, ce faisant,
notre but n’est pas du tout d’étaler pareils dossiers sur la scène publique
par goût pour le scandale, mais tout simplement pour faire prendre
conscience aux hommes et femmes d’affaires tunisiens qu’ils ont pour
obligation non seulement de faire fructifier l’affaire ou les affaires
qu’ils ont créées, mais également d’en assurer la pérennité après eux. Ce
qui implique en particulier qu’ils prennent les décisions et mettent en
place les procédures permettant d’éviter que leur succession soit
problématique et que leur héritage devienne l’objet d’un litige entre
héritiers. Car l’entreprise appartient certes à celui et à ceux qui l’ont
créée, mais elle est également la propriété de la communauté nationale qui a
tout intérêt à ce qu’une partie du tissu économique ne soit pas condamnée à
végéter ou, pire, à disparaître.


MM

 


Réaction à l’article :
Entreprise : conflit familial autour de l’héritage de feu Ali Faouzi Gahbiche

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