SISE : Oui, il faut y participer !

 

SISE

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Par
Maryam
OMAR

 

sise040406.jpgMalgré
tout ce que l’on peut dire sur la première édition du Salon international
des services (SISE 2004), nous sommes convaincus que le principe-même de
cette manifestation mérite que les entreprises tunisiennes du secteur la
soutiennent. Car il s’agit au moins d’une promesse qui va dans le sens de
nos ambitions de faire de la Tunisie une plate-forme régionale de services.

 

Cette année (dans quelques jours), près de 250 exposants représentant les 8
secteurs les plus concernés ont déjà signifié leur participation. Le Salon
sera donc un lieu de rencontre pour les acteurs de la santé, du tourisme, du
high tech, de la finance, de l’éducation, de l’engineering, de la
communication/marketing et ce que l’on peut appeler des institutions.

 

On s’attend d’ailleurs à ce que les ‘’vétérans’’ de la première édition
mettent implicitement à contribution leur expérience pour constituer un
noyau qui met en confiance et fait gagner du temps aux nouveaux venus. Les
Workshops, les réunions, les rencontres, les contacts avec les organisations
internationales et les bailleurs de fonds, l’identification des offres et
des demandes de tous les pays… auront ainsi une nouvelle ampleur qui nous
fera grâce des hésitations de 2004.

 

Ce que nos chefs d’entreprise doivent comprendre, c’est que le SISE se tient
sous le signe ‘’Si tu ne vas pas à la montagne, la montagne vient à toi’’ ;
c’est-à-dire qu’au lieu de faire de longs voyages vers leurs marchés
potentiels, ce sont ceux-ci qui viendront en Tunisie pour écouter leurs
arguments. Il faut également comptabiliser l’effet non négligeable de la
synergie entre les participants tunisiens et les organisations et
institutions internationales et régionales, le partenariat avec les Jeunes
Promoteurs du JCI, l’identification de projets de coopération triangulaire…

 

Cerise sur le gâteau, c’est l’image de la Tunisie en qualité de pays
organisateur qui sera mise en valeur par la participation qualitative de nos
entreprises. Et les répercussions de ce facteur sur l’environnement de
l’entreprise sont évidentes.