Inter-clé : L’indispensable numérisation

Par : Autres
 

Inter-clé

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karim.jpgIl est des
métiers traditionnels qui ont du mal à se transmettre de père en fils.
Pourtant, certains d’entre eux, les nouvelles technologies de l’information
et de la communication aidant, sont en passe de devenir des métiers tout à
fait modernes. C’est le cas notamment du métier de serrurier, artisanal par
excellence, mais qui, aujourd’hui, suit et s’adapte à l’évolution
technologique.

 

Il ne
pouvait en être autrement, tant le monde est devenu numérisé à l’excès : des
clés de contact de voiture à celles de l’habitat, en passant par les
coffres… tout est mis en œuvre pour dissuader au tant que faire se peut
voleurs et autres malfaiteurs.

 

Justement, Karim Ghedamsi, maîtrisard en informatique de son état, a troqué
un éventuel poste au sein d’une banque ou une grande société pour s’occuper
de l’entreprise familiale ‘’INTER CLE’’, après avoir complété sa formation
en électronique embarqué –un concept cher aux industriels et commerçants ces
temps-ci, soit dit en passant.

 

Grâce à
l’outil informatique, formation spécifique, stage, … les serruriers recyclés
en particulier INTER CLE sont en mesure de reproduire des clés codées, en
prenant les dispositions nécessaires pour garantir la traçabilité de leur
produit/travail. Mais qui dit traçabilité, dit également respect des règles
et de la loi. C’est pourquoi notre K.G considère que, avant toute
intervention, il demeure indispensable qu’on présente sa carte d’identité
nationale (ou une copie) ainsi que la carte grise et la carte
d’identification (code sécurité) délivrée par le fabricant

 

Pour lui,
le métier de serrurier ne s’improvise plus et
nécessite par conséquent une formation adéquate et adaptée pour pouvoir
répondre aux évolutions opérées par les constructeurs automobiles. Cet
effort a été récompensé par un partenariat établi avec certains des
concessionnaires leaders du marché tunisien, tel que STAFIM PEUGEOT.

 

En un
mot, il faut dire que, aujourd’hui plus qu’hier, tout se consomme à la sauce
technologies de l’information et de la communication.