Peu de gens le savaient, tant en interne qu’en externe, le 14 juillet a une signification particulière pour Poulina Group Holding (PGH): celui de sa date de naissance. Cette année, la date a un goût particulier puisqu’elle marque 50 ans d’existence du groupe.

En attendant les festivités –guère extravagantes, d’après nos sources- qui seront organisées dans les prochaines semaines, PGH a publié jeudi 13 juillet 2017 un communiqué pour retracer son parcours, présenter les résultats d’une «aventure industrielle et humaine » de 50 ans, et mettre en avant les principes et valeurs qui ont guidé le groupe par le passé et continueront à l’inspirer à l’avenir.

Au commencement de cette «aventure», en 1967, fut un homme, Abdelwaheb Ben Ayed, le «visionnaire» qui «s’était donné pour mission de révolutionner les habitudes culinaires de ses concitoyens (basées historiquement sur les viandes rouges) pour assurer leur sécurité alimentaire», et cinq amis qui n’ont guère été avares de leur soutien: «Mohamed Bouzguenda, Feu Abdelhamid Bouricha, Mohamed Ben Ayed, Feu Slaheddine Chadly et Feu Hedi Brini, puis rejoint en 72 par le feu Mohsen Kallel».

Cinquante ans plus tard, les résultats sont là qui se passent de tout commentaire. La consommation de viande de volaille a été «multiplié par 75 et passa à plus de 15 kg en seulement quatre décennies» et Poulina est «le premier groupe industriel privé en Tunisie», opérant aujourd’hui dans 8 secteurs principaux (l’intégration avicole, les produits de grande consommation, la transformation d’acier, l’emballage, l’immobilier, le bois et les biens d’équipement, les matériaux de construction et le commerce & service).

PGH qui a investi 2 milliards de dinars depuis sa création en 1967, génère aujourd’hui, avec ses 108 sociétés, un chiffre d’affaires de 2,7 milliards de dinars. Ce qui en fait le premier employeur privé en Tunisie avec plus de 12.000 collaborateurs directs dont 2.500 cadres et une moyenne de 1.100 nouvelles recrues chaque année.

Mais PGH contribue aussi au développement du pays par une politique d’essaimage –qu’il a été le premier à lancer en Tunisie- qui a permis à plusieurs milliers d’entreprises de naître et prospérer à sa périphérie.

PGH s’enorgueillit aussi d’être une «Ecole de la vie», une «Entreprise écoresponsable» et une «entreprise citoyenne». La première «a vu évoluer dans ses rangs des dizaines de milliers de collaborateurs», «des générations de compétences (…) imprégnés de la culture Poulina qui ne se limitent pas à la maîtrise de la fonction, mais bien au-delà pour s’inscrire dans une évolution continue et atteindre la perfection».

La deuxième est convaincue d’avoir «une grande responsabilité vis-à-vis de l’environnement et Å“uvre par tous les moyens à le préserver». Aussi a-t-elle fait certifier plusieurs de ses sites aux normes internationales ISO afin de «réduire l’impact environnemental de ses activités qu’elles soient industrielles ou agricoles» et a été un acteur pionnier dans la maîtrise de l’énergie à travers la cogénération.

Enfin, l’entreprise citoyenne «a œuvré depuis sa création à soutenir et être aux côtés des Tunisiens les plus démunis, notamment pendant les occasions religieuses (Ramadan), les vagues de froids et les inondations», et se soucie également des loisirs des enfants tunisiens nécessiteux issus des régions de l’ombre ou appartenant à des associations tel que SOS villages, et ceux des martyrs du terrorisme (militaires et sécuritaires) qu’elle invite périodiquement  dans ses parcs d’attractions Carthage Land LAC et Hammamet.

Cette politique citoyenne et Ecoresponsable a permis à PGH d’adhérer au Pacte Mondial RSE des Nations Unies et devenir un partenaire Actif sur le terrain, se félicitent les responsables de PGH.